Lydia Morales | they call you a witch to burn at the stake

27.07.23 16:56

Lydia Morales

they call you a witch to burn at the stake in Salem

nom
Lydia Morales. Née Blanca, elle a décidé d'utiliser son deuxième prénom pour couper tout ce qui lui restait de lien avec ses parents, dès qu'elle en a eu l'occasion. Après tout, elle n'a aucune nouvelle d'eux depuis vingt ans.

age42 ans. Le passage de la quarantaine lui a valu de replonger momentanément dans ses anciens travers. Lydia fait partie de ces gens qui ne savent pas vraiment comment vieillir et qui s'imaginent être les élus qui passeront entre les mailles du filet. Apparemment pas, le temps se marquant peu à peu sur son visage qui n'a plus rien de juvénile.

naissance25 mars 1981 à Fajardo (Puerto Rico).

pronoms she / her.

orientation Pansexuelle même si elle ne se nomme pas réellement. La seule chose qui l'importe c'est ce qu'elle ressent et la personne avec qui elle relationne, pour le reste ... Elle s'en moque éperdument.

statut civil En instance de divorce. Elle a merdé, Lydia. Elle peut pas dire qu'elle ne l'a pas vu venir, son mariage battait de l'aile depuis des années et s'il n'y avait pas eu leur fille, ça fait bien longtemps qu'elles auraient abandonné. Mais ce qui aurait pu être la fin normale d'un mariage heureux s'est terminé comme une trahison. Good job darling.

occupation Vétérinaire dans un cabinet à Missoula où elle travaille avec deux autres personnes. Elle concentre donc régulièrement son activité professionnelle aux visites à domicile sur Garnet, passant très régulièrement au ranch.

finances Elle se débrouille pas trop mal, Lydia, compte tenu de la situation et des frais engendrés par le divorce, la maison et sa fille. De quoi pouvoir garder un niveau de vie correct.

groupe Moonstone

triggers (à l'intérieur de la fiche) homophobie / injures / violence physique / adultère

avatar Aubrey Plaza

crédits mrschaplin-universe (avatar) delicatejareau (icons)

Caractère

Brutale honnêteté.
Lydia n'a jamais su mâcher ses mots, on lui a dit bien souvent qu'elle pouvait blesser et que toute vérité n'était pas bonne à connaître, mais elle ne sait pas vraiment s'en empêcher. Cela peut être vu comme une bonne chose tout comme lui apporter de bien piètres expériences, qu'elles soient professionnelles ou privées. C'est que même dans le cadre de son travail, elle y met un point d'honneur. Jamais vraiment douée pour ménager les autres, ça reste quelque chose qu'elle ne cherche pas non plus.

Egoïsme certain.
Il faut dire que la seule personne qui entre dans son schéma de pensée est sa fille. A une autre époque, sa femme également. Ce n'est pas qu'elle ne veut pas, Lydia, c'est seulement qu'elle n'arrive pas à se passer en second. Prendre pour excuse le fait que si elle ne le fait pas, personne ne le fera, ne marche que dans une certaine limite. Elle n'a pas le coeur sur la main et elle n'aidera pas d'elle-même son prochain si ça peut la retarder d'une poignée de minutes sur ses plans de la journée.

Assurance de façade.
De ces personnes qui intimident par leur apparente assurance, à ne sembler jamais douter une seule seconde du bien-fondé de leurs actions, Lydia est visible. Elle parle fort, rit à gorge déployée et n'hésite pas à se couvrir elle-même de compliments lorsqu'elle juge le mériter. Ce n'est pas qu'elle ne doute de rien, loin de là. A force d'observation, cependant, elle a remarqué bien vite qu'on ne donnait rien à ceux qui ne montraient pas clairement qu'ils le méritaient. Et elle le mérite.

Naturellement insupportable.
Ce n'est pas qu'elle manque d'empathie, Lydia, mais elle sera plus volontiers narquoise que compatissante. Elle explose très régulièrement, ne sait pas contenir ses émotions. Explosion de joie, de colère ou de peur, elle ne peut s'empêcher de les communiquer autour d'elle, trop affolée à l'idée de les garder longtemps dans l'intime.

Militante investie.
Ce sont ses propres batailles qui l'ont poussée vers le collectif, son propre combat qu'elle veut mener correctement. Ciblée par l'homophobie dès son coming out, elle n'hésite pas à soutenir les causes qui lui tiennent à cœur, créer du contenu sur le sujet sur les réseaux et se rendre disponible pour manifester dès qu'elle le peut.

Le double visage involontaire.
Devenir mère l'a poussée à repenser ses attitudes et ce qu'elle voulait refléter à son enfant. Dans son travail comme dans la vie qu'elle mène avec sa fille, elle tente au mieux de rester la plus sobre possible, la plus calme, la plus rassurante. Elle n'y réussit pas toujours mais il n'est pas rare que ceux qui la voit dans ces cadres-là aient du mal à la reconnaître lorsqu'elle en sort.

Anecdotes

1 Entrée dans la vie par une famille qui n'était ni pauvre ni riche, Lydia a cependant très vite compris qu'elle voulait plus que ça. Intéressée par les beaux atours et les vêtements de créateurs, elle ne pouvait décemment pas se permettre un bas métier qui ne lui assurerait pas de revenus corrects. Au placard, donc, ses rêves d'artiste, ses peintures et la précarité, elle a choisi l'amour des bêtes et les longues études.

2 La découverte de l'alcool et ses déboires s'est faite lors de sa première année d'études et elle n'est sobre que depuis cinq mois, retombant régulièrement dans son addiction lorsqu'elle n'y prête pas assez d'attention. Elle sait que sa fille ne pourrait peut-être pas lui pardonner si elle savait que c'était en partie à cause de ça qu'elle avait blessé June. Pas seulement, la faute n'étant pas totalement à mettre sur le compte d'un abus trop prononcé pour la bouteille, mais les choses se seraient probablement mieux passées. Elle assiste donc régulièrement aux réunions AA pour tenter de se créer un cadre et ne pas avoir à annoncer à sa famille que ce qu'elle haïssait chez son père ne l'a pas épargnée.

3 Lydia n'a pu avoir un animal - un lapin - que le jour où elle a emménagé avec June. Lorsqu'elle avait soumis l'idée à ses parents, ils avaient été catégoriques, prétextant allergies et déménagements pour l'en empêcher malgré son insistance. Elle l'a toujours accepté mais ça ne l'a pas empêchée d'être amère lorsqu'elle a dû laisser ses deux chats à son ex-femme, ne sachant pas réellement comment allait se passer le divorce et l'emménagement à Garnet.

4 La peinture catalyse ses émotions lorsqu'elles se font trop puissantes. Elle s'est, temporairement, installé un coin extérieur en attendant de pouvoir rénover un bout de la maison pour en faire son atelier ouvert. Si elle a, autrefois, pris des cours de dessin, elle travaille en autodidacte depuis qu'elle est entrée en études et ça lui convient. Lydia n'a jamais eu, de toute manière, pour but de vendre son art et se contente de tenter de se perfectionner pour elle-même. Elle n'a donc pas grand-chose à faire de s'interroger sur la valeur que ses peintures peuvent avoir.

5 Une fois par mois, Lydia part faire une randonnée quelque part dans la région. Parfois, sa fille l'accompagne et d'autres elle se retrouve seule, sans moyens de communication, juste elle et le silence. Fuir le monde et sa vie pour mieux la retrouver par la suite. Elle ne serait pas contre trouver des personnes pour l'y accompagner, mais elle se fait très bien à cette activité en solitaire.

6 Lydia vit avec sa fille qui alterne entre sa maison et celle de June. La situation entre elles-deux est encore plus que tendue, la communication se fait complexe. Il faut dire que tout n'a pas été dit, les deux ex-épouses ayant décidé de ne pas parler à leur enfant de ce qui a fait déborder le vase d'un côté comme de l'autre, à savoir la tromperie de Lydia.

Pseudo

Hello moi c'est Soko, j'ai trente ans, je vis dans le nord de la France et j'ai découvert le forum via facebook sur une publicité en cherchant, à la base, un forum fantastique. Je suis sur les forums depuis 17 ans à peu près, ma grande passion c'est Supernatural (uiui) et sinon je serais disponible deux à trois fois par semaine, pour le rp ça dépendra de mon boulot. Voilà !

27.07.23 17:08

Interview

⇒ violences intra-familiales, homophobie, adultère, mention d'activité sexu*lle ⇐

Quels sont le meilleur et le pire souvenir de ton enfance?

Mon père est un militaire fils de militaire qui a toujours vécu entre Puerto Rico et les Etats-Unis. Il a reproduit la même chose avec ma mère et moi. Les vingt premières années de ma vie, j'ai surtout connu les déménagements successifs, parfois je pouvais rester jusqu'à cinq ans à un endroit, d'autres on en partait au bout de deux ... Je n'ai pas eu de stabilité avant de prendre moi-même mon envol et de les laisser derrière moi. Mais je me souviens d'une fois, alors je ne sais plus quelle ville, ça se mélange un peu, peut-être Saint Marys ? Je ne sais plus. Mais la maison qu'on "habitait" (investissait pour un instant serait plus exact) était dans un quartier totalement en construction, c'était vraiment étrange, il a fallu quelques mois, de souvenir, pour que d'autres familles emménagent et beaucoup d'entre eux étaient comme nous, de passage. Enfin bref, je disais donc qu'une fois, y a une enfant de mon âge approximatif - six ans - qui est venu sonner, un peu timidement. Elle m'avait vue par la fenêtre et voulait quelqu'un pour faire le tour du quartier. Je me souviens pas de grand-chose, seulement que c'était l'aventure, qu'on cherchait des trésors et qu'on était restées dehors jusqu'à ce que la nuit tombe et que mon père vienne me chercher. Je pense que ça m'a marquée puisque c'était la première fois que j'avais l'autorisation de me faire une amie.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai assisté aux scènes de violence de mon père envers ma mère. Il suffisait d'un détail pour le faire partir, pour que les gifles -quand ce n'était que ça - touche sa joue, que les larmes coulent. J'ai des différents avec ma génitrice mais elle ne méritait pas ça, personne ne le mérite. Je suis désolée qu'elle ait eu à l'endurer et c'est exactement ce genre de comportements qui me reste en mémoire quand je pense au pire.

Quel type d'élève étais-tu à l'école?

J'étais bonne élève mais j'ai toujours eu un problème de comportement. A la maison, je n'osais pas répondre à mon père de peur d'être jugée aussi sévèrement que ma mère mais quand on vit avec un militaire baraqué violent et alcoolique, étrangement, les professeurs ne font plus aussi peur. Alors je me lâchais sur eux, je leur répondais, je leur prouvais tort lorsque je le pouvais, et lorsque je me trompais, je le faisais avec une telle conviction que j'arrivais à m'auto-persuader que l'heure de colle n'était pas méritée. good times

Comment s'est passé ton premier job?

J'ai dû prendre un boulot une fois que mes parents m'ont coupé les vivres, donc je suis allée dans le pire restau de Gainesville et j'ai postulé en rajoutant une ou deux lignes sur mon CV. J'avais besoin du job, j'étais dynamique, je savais sourire et je lambinais jamais. Par contre j'ai jamais apprécié qu'on me donne des ordres, alors ça a été pour le moins compliqué. Si y avait eu que ça, je pense que le patron m'aurait pas viré au bout de deux mois. Insulter le client qui a voulu me mettre une main au cul est pas passé cependant. Et honnêtement, je ferais sans doute la même chose aujourd'hui. Mûrir c'est un peu surfait.

Raconte nous ton premier amour.

Elle s'appelait Mary. Je l'ai rencontrée au lycée et la première fois que je l'ai vue, j'ai le coeur qui a commencé à battre la chamade, sans que je comprenne ce qu'il m'arrivait. Je tombe pas facilement amoureuse, et même à l'époque c'était le cas, j'ai jamais été seule bien souvent mais jamais aussi accrochée que ceux qui m'aimaient. Sauf deux fois. Elle et June. L'une comme l'autre, ça a été un désastre. Mais c'est le genre de relation qu'on oublie pas, pas vrai ? La première personne qui m'a fait découvrir tout un pan de moi-même que j'imaginais même pas et celle avec qui j'ai élevé un enfant. Je suis pas fan de la perte de contrôle qui accompagne l'amour comme je le ressens, mais ça vaut bien d'être vécu au moins autant de fois que possible.

Quel a été la chose la plus difficile pour toi en devenant adulte?

Prendre mes responsabilités. Je suis devenue mère très jeune et je suis passée de cette personne qui n'arrêtait jamais de vouloir profiter, sortir, rire, qui se moquait de payer que son loyer et d'acheter de l'alcool plutôt que de la nourriture à celle qui a dû non pas se soucier de la santé et du bien-être de sa propre personne mais également de celle d'un enfant. Ca a été abrupt, ça a été dur. Je suis fière d'y avoir réussi.

Quelle type de relation as-tu avec ta famille?

Je vais vous raconter la dernière fois que j'ai vu mes parents. Mon père a toujours battu ma mère. Il n'a jamais levé la main sur moi mais rien que le voir s'énerver suffisait à me paralyser. Il buvait, beaucoup, et montait au créneau pour un rien. Pour ça, j'ai récupéré une partie de sa personnalité, pas la plus violente, heureusement.
Pour rajouter un peu de contexte, je suis tombée enceinte d'un one-night-stand trois semaines avant de rencontrer June. Autant dire que ça faisait beaucoup à encaisser. J'avais vingt-deux ans et j'étais en pleines études, ce n'était absolument pas le moment, mais c'est comme ça. J'ai haï longtemps la pilule, le préservatif mis par un homme qui ne savait de toute évidence pas s'en servir vu le bégaiement qu'il a eu quand j'ai insisté pour qu'il le mette et pour le fait que j'entretienne une relation avec une femme ... J'avais déjà fait mon coming-out à absolument tout le monde, je ne m'en cachais pas ... Sauf à mes parents. Un week-end où je rentrais chez mes parents, il a fouillé mon téléphone, ne comprenant pas pourquoi j'en décrochais rarement - vous savez, l'attrait des débuts de relation, même une soirée sans parler à June et j'avais l'impression que mon monde s'effondrait - et il a tout compris. Absolument tout. Il ne m'a pas frappé. Contrairement à ma mère, j'ai eu droit à des mots. Des mots que je répèterais pas, que j'ai entendu un million de fois par la suite parce que c'est comme ça qu'on traite les personnes en-dehors du carcan cis hétéro bourgeois blanc quand on les identifie dans la rue, en soirée, au boulot ... Je pensais juste pas avoir à le subir dans une maison qui m'a abritée. Je ne crois pas que ma mère ait dit un seul mot à ce moment-là, ni quand mon père m'a mis à la porte sans mes bagages et avec un téléphone jeté au sol. Je n'ai jamais voulu réentendre sa voix de toute façon. Cette nuit-là, j'ai pensé abandonner. J'ai eu l'image d'ami.e.s qui n'avaient pas pu faire autrement et qui s'étaient laissé.e.s mourir. J'ai compris pourquoi. Puis j'ai pensé à l'enfant, à June ... Et je me suis dit que je pouvais creuser et trouver de l'espoir quelque part.

Mais j'ai tiré un trait sur ceux qui m'ont élevée, et je m'en porte très bien.

Comment était ta vie avant Garnet, pourquoi partir?

J'ai trompé ma femme. C'est arrivé comme ça, alors que notre couple allait mal et que je replongeais dans le rhum. C'est pas une excuse, hein, juste un état de fait. On aurait dû divorcer y a bien six ans, mais on a jamais vraiment réussi à franchir le pas, essayant conseiller conjugal sur tentatives infructueuses et un jour j'en ai eu marre et je suis sortie, seule, boire ce que je pouvais.
J'aurais jamais dû me laisser draguer, j'aurais jamais dû répondre et j'aurais encore moins dû monter chez lui. J'ai réalisé ce que j'avais fait cinq minutes après qu'il se soit endormi comme une masse, complètement soûl et je me suis barrée.
J'ai prévenu June immédiatement, j'ai jamais rien su lui cacher et j'en avais aucunement envie. Mais c'était de trop. Je l'ai blessée et j'aurais jamais pensé en être capable.
Depuis, on ne se parle que par avocats interposés et je pouvais pas rester dans la même ville, à deux pas de chez elle, de peur de la croiser trop souvent. Il fallait que je m'en éloigne et surtout que je soigne ce qui déconnait chez moi. J'ai donc arrêté de boire et trouvé l'annonce de Garnet. Je bossais déjà au ranch de temps à autres, j'ai juste pris un peu plus de clients de ce côté-là du Montana.

Racontes-nous quelque chose que peu de gens savent sur toi.

Premièrement, je déteste mon ex-beau-frère. Véritablement, il représente ce qu'il y a de pire dans la race humaine à mes yeux. Je n'aime pas particulièrement les gens de manière générale mais lui ... Je le noierais dans un verre d'eau, si je pouvais.
Deuxièmement, je suis absolument accro aux téléfilms de Noël et romantiques de manière générale. Vous savez, ceux qu'on trouve sur Netflix et qui sont mièvres à crever ? Donnez-moi un plaid, un chocolat chaud et ce type de films et j'y passe des heures.

Quels sont tes projets à Garnet?

Trouver un.e bûcheron.ne qui est en fait mon ami.e d'enfance perdu.e de vue qui a besoin d'aide pour soigner la patte cassée de son chien et tomber amoureuse ? Non je déconne.
Retrouver un semblant de stabilité, en réalité. J'ai besoin d'un cadre pour ma fille, qu'elle retrouve sa mère et non pas la partie de moi qui a fait foirer mon mariage. Me refaire un cercle, également, pourrait être bénéfique ... Après avoir vécu vingt ans avec la même personne, nos ami.e.s se sont un peu mélangé.e.s et je ne pars pas gagnante dans cette histoire. Il faut croire que mon ex-femme a un meilleur cachet sympathie.
Enfin ... J'aimerais vraiment ouvrir une clinique vétérinaire ici. Je passe encore beaucoup trop de temps à mon goût à Missoula.

27.07.23 19:45

Bienvenue :) bonne rédaction

28.07.23 3:11

Bienvenue officiellement parmi nous ! coeur

Hâte d'en lire plus ! N'hésite pas si tu as des questions. coeur

28.07.23 13:47

Bienvenue à toi lilicornes

Ravis de voir une vétérinaire ici, faudra qu'on discute lien 1012870595

Au plaisir et bon jeu licorne

28.07.23 21:59

OIUDFJKHSNJDSNFKFL

AUBREY PLAZAAAAAAAAA 1849468993

C'est mon crush ultime, je suis tellement contente de la voir ici loveyes

Ce personnage m'a l'air vraiment super, j'ai hate d'en découvrir plus sur Lydia loove

Un grand bienvenu à toi et n'hésites pas si tu as besoin de quoi que ce soit coeur

29.07.23 20:01

Welcome à toi sur SBS coeur

je te souhaite bon courage pour ta fiiiche ! eyes

30.07.23 9:43

Merci beaucoup à vous toustes hearteyes

Trish, avec plaisir pour parler lien, je vais essayer d'avancer ma fiche au plus vite !

Jackson - Je la vois tellement rarement jouée Aubrey qu'il fallait que je le fasse :mdr: